« 1957, l’apogée des dessins années soixante. Des touches pointues, rondes, oblongues ou carrées qui me font penser à un instrument à vent, une flûte, une trompette. »

« Aller à Giverny est chaque printemps un acte fondateur. Un monde végétal en sourdine qui s’apprivoise. Je me mets à la hauteur de Mesdemoiselles les Pensées. »

« Telle Scarlett qui décroche les rideaux pour confectionner sa robe de bal, j’ai conçu le thème Impératrice autour de deux mots : Elégance et Noblesse.»

LOOK 3 - Robe Emma-Rose en imprimé Impératrice

« Ce que j’aime dans mon métier : détourner les objets de leur contexte, changer les dimensions et les repères, isoler un détail. Tout est prétexte à être belle et étonnante.»

« Ni un Cézanne ni aucun de ces sublimes impressionnistes qui ont peint à l’infini fruits et carafons, juste un modeste citron jouant son numéro de poésie et de charme pétillant dans la grisaille de l’hiver. »

«Minimaliste, d’une grande douceur, Le Cercle des Poètes est une ode à la féminité.»

« American Lady est oversize. Il a beaucoup d’allure. Une ampleur qui vous fait paraître fragile, perdue, délicieusement féminine. »

Avez-vous remarqué la touche scintillante aux mains et au visage de notre jolie modèle ?

Laissez-nous vous présenter Amélie. Elle est notre coup-de-cœur de la rentrée : artisan bijoutière, sa marque s'appelle "by A.L".

C’est dans son minuscule atelier du 19^ème arrondissement que nous l’avons rencontrée. Passionnée et très douée, elle conjugue son savoir-faire et son imagination au service de chacune de ses créations. Chaque bijou est reproduit en petites quantités de ses petites mains, sur son établi.

Amélie nous touche car elle n’est pas comme les autres.

Retrouvez ses créations sur son site internet : www.by-al.com

« La Comtesse swingue et ondule au moindre pas, d’autant plus dans ce beau satin. Lourd, plombant, il suggère préciosité et modernité.»

« Emprunté au vestiaire des danseuses, Orpheo s'entortille comme le cache-coeur du Lac des Cygnes.»

« Pimpantes, bras dessous bras dessus, mes Parisiennes sont la couleur de Paris, et le parfum des années cinquante.»

« Enigmatique, poétique, graphique, mon oiseau est un hommage à Haruki Murakami, l’un de mes écrivains culte… Idéal sous Guillemette, mon véritable trench-coat à la doublure matelassée, imprimée de petits flamands.»