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Publié le 26/10/2022
Imprimé peinture, canevas noir éclairé de blanc, monochrome et minimaliste.
Urbain, constructiviste, la lumière blafarde poétise la nuit les blocks de béton.
Le mot BERLIN, pourquoi ? Sans doute à l’image du style Bauhaus né en Allemagne dans les années 20 : cubique ou carré, fonctionnel et dépourvu d’ornements. |
Un style minimaliste, intemporel, épuré et simple, qui va à l’essentiel. | ![]() |
Selon le style Bauhaus, les fenêtres percées devaient être carrées,
recouvertes de matériaux nobles, et alignées dans la pure tradition prussienne.
J’adore…
![]() | Jetés de façon brouillonne, les traits sont hésitants, mal fignolés, et pourtant observent un cadre : un carreau épais, coupé de lignes imprécises |
Rien n’est rigide, les carrés sont des rectangles, un peu hauts, un peu trapèze, un peu déformés. | ![]() |
Point de froideur, ni de dureté dans cette composition monochrome, noire d’acier.
Une régularité se dégage, apaisante.
L’imprimé s’efface au profit du vêtement, il sert d’écrin au visage, il vous enveloppe comme un tartan, un tweed, il est discret, et facile. … |
BERLIN, un mot qui sonne, tape, il s’est imposé, je n’y peux rien...
.
2 matières pour BERLIN :
La popeline polyester, lourde et mate, dédiée aux jupes, pantalon et robes. Elle bouge avec majesté, s’ajuste grâce à un soupçon d’élasthanne. Se lave en machine, ne se repasse pas. Très moderne et particulièrement juste pour accompagner l’imprimé BERLIN. | ![]() |
La viscose pour les chemises, hommage à l'excessive féminité. Fluide et douce, moderne. Pour les réfractaires au repassage, pas d'angoisse : faîtes-la sécher sur un cintre, elle se défroisse à la température de votre corps. Ce que j'appelle, le négligé élégant... | ![]() |